Albin Michel, 2015
p.157 : " Elle lui désigne le crucifix qu'elle lui a présenté au début de leur entrevue.
- On ne dit pas s'il était bon mathématicien. Mais je crois que l'amour qu'Il nous portait nous aide à parfaire nos connaissances dans des domaines qui semblent bien loin de Lui. Comme nous l'a dit Saint Augustin : " Credo ut intelligam"...Je crois pour comprendre.
Donc, apprends les leçons qu'il nous donna en même temps que les théorèmes, et tu verras comme cela s'emboîte. "
Choix de C.Meaudre
Blog réalisé par les documentalistes du lycée Sainte Marguerite de Chambray Les Tours. Le CDI est aussi sur Babelio : voir "cdisaintemarguerite"
Présentation
"Lire c'est guérir"
C'est aussi grandir, aimer, partager.
Nous avons déjà corné des pages, ou pris en note une citation... puis nous les avons perdues, oubliées.
Ce blog a pour vocation de jouer aux marque-pages, de retrouver le passage qui nous avait ému, touché, interrogé.
Parce que chaque lecture est un chemin vers soi-même, parce qu'une phrase bien choisie a parfois plus d'impact qu'un long argumentaire.mercredi 27 mai 2015
jeudi 14 mai 2015
Bilqiss de Saphia Azzedine
Éditions Stock, 2015
p.142 : " Sept siècles que le monde musulman respirait avec un seul poumon, payant au prix fort le musellement de leurs moitiés...Il était loin, le temps où la valeur spirituelle d'un musulman se mesurait à la quantité de livres qu'il possédait, où les bibliothèques champignonnaient comme des minarets, loin aussi le temps où les mosquées, au delà des salles de prière, abritaient le savoir que les hommes et les femmes pouvaient venir goûter sans distinction. "
P.202 : " Mon Coran n'ordonne rien, aucune loi ne peut s'en dégager parce qu'il y a autant de lectures qu'il y a de musulmans, et ce n'est certainement pas une bande de fripons en robe blanche rasés de frais et le front souillé qui réduira mon saint Coran à un vulgaire mode d'emploi pour décérébrés."
Choix de C.Meaudre
p.142 : " Sept siècles que le monde musulman respirait avec un seul poumon, payant au prix fort le musellement de leurs moitiés...Il était loin, le temps où la valeur spirituelle d'un musulman se mesurait à la quantité de livres qu'il possédait, où les bibliothèques champignonnaient comme des minarets, loin aussi le temps où les mosquées, au delà des salles de prière, abritaient le savoir que les hommes et les femmes pouvaient venir goûter sans distinction. "
P.202 : " Mon Coran n'ordonne rien, aucune loi ne peut s'en dégager parce qu'il y a autant de lectures qu'il y a de musulmans, et ce n'est certainement pas une bande de fripons en robe blanche rasés de frais et le front souillé qui réduira mon saint Coran à un vulgaire mode d'emploi pour décérébrés."
Choix de C.Meaudre
Inscription à :
Articles (Atom)